Quatrième jour. Nous nous réveillons vers 9h30, et nous rangeons ce qui reste de nos affaires. Nous avons rendez-vous avec la gare et notre TGV dans 2h00, alors il faut qu’on se dépêche un petit peu… Et c’est avec un grand regret que nous quittons l’appartement de notre hôte pour attendre une dernière fois le bus. Ce bus climatisé et propre qui va nous manquer. Ce petit coin de paradis sous le soleil qui va nous manquer. Ces vaches colorées, sa plage, sa mer, ses prix abordable (on n’est pas à Paris et ça se sent !!!), ses glaces super bonnes, ses feux d’artifice, son miroir d’eau, ses bâtiments, son crocodile… Ouais, ça va nous manquer tout ça…
La gare nous attend. Et nous attendons le train qui est finalement affiché quelques minutes avant le départ. Bravo la SNCF ! Surtout quand on sait qu’à 11h33 pile ils ont fermé les portes du train… Quelle belle bande de crétins… Nous avons à peine le temps de dire au revoir que nous sommes déjà sur le chemin du retour. Et pendant deux heures, nous n’avons pas de climatisation. Le TGV est un four ambulant, c’est l’horreur. Au bout de trois heures, nous arrivons sur Paris, son ciel gris, sa pollution olfactive et sonore… Et on ne pense qu’à une seule chose : retourner à Bordeaux. Peut être définitivement, pourquoi pas ?