La douleur, terrible et vive,

Sur ma peau, se diffuse rapidement

Apparait alors une coulée de sang

Ma haine pour toi d’un coup se ravive

Goutte à goutte, ma vie s’enfuit

Mon cœur, peu à peu s’assombrit

Mon sang s’écoule au grès des secondes

Chaque tic-tac me rapprochant de la tombe

La douleur, brûlante et infâme,

Dans mon cœur, une véritable fournaise

Dans ma main, toujours, cette lame

Difficile d’échapper à ce sortilège

L’amour et la haine, simplement,

Deux faces d’une même pièce d’argent

Je m’éloigne de toi, malgré tout

Peut-être étais-je bêtement jaloux…

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