Aaaaaaah les Pogs. J’en avait toute une jolie collection quand j’étais au collège. J’y jouais de temps en temps, mais au final, j’en ai tellement eu marre de perdre que je finissais juste pas faire des échanges mano à mano. C’était quand même plus safe. Quand je regarde la tête des pogs originaux, je me dis que c’était vraiment très moche. Puis y a eu les pogs made in japan, j’en avais des Dragon Ball Z et des Yuyu Hakusho (rien que ça), et y a eu des semis pogs qu’une marque de gâteaux avait sortie (Lu ? Bn ? Lequel des deux ?) avec Sonic le hérisson. On pouvait les lancer super loin avec leur créneaux (j’me comprend, c’est peu, mais c’est déjà ça.).

La folie des Pogs !

Y’avait je ne sait combien de séries différents de Pogs, et par la suite, un fabriquant de jouets à même fait vendu une petite machine à faire des Pogs avec n’importe quelle image. Moi j’utilisais des vieux Pogs à moitié arraché et j’y collais des images de DBZ. Et ces pogs avaient la côtes dans les échanges. Tout du moins, dans la cours de récré du Collège.

Après la mode des Pogs vint celle des Jojo’s. Et là, c’était tout le temps « t’es jojo’s ou t’es pas jojo’s » ? Il y avait eu une distribution de paquet gratuit à la sortie des cours. On se les ait tous fait confisquer direct par le proviseur. Soit disant il y avait de la drogue dedans, et il a appelé la police, tout ça. Au final, les Jojo’s, c’est juste des petits bouts de plastique totalement inoffensifs. Personnellement, je n’était pas fana, je préférais m’adonner au collectionnage (j’invente des mots, et alors ?) de cartes (voir plus bas).

Et puis désolée pour les fans, mais je trouve ça moche les Jojo’s. Bien avant cela, on avait les Babie’s (ou baby’s ?), mais j’en parlerais une autre fois peut être.

Un petit paquet de cartes Sailor Moon.

Pendant que certains faisaient leur collections de Jojo’s et que les Pogs disparaissaient petit à petit des cours de récré, moi je passais mon temps à dépenser mon argent de poche dans un magasin (disparu depuis) portant le nom de Samurai (qui était l’équivalent d’un Konci ou d’un Tonkam). La fana de Dragon Ball Z que j’étais ne pouvait pas passer à côté de ces cartes à collectionner. Et j’en ai dépensé des sous là dedans. genre beaucoup. Vraiment beaucoup. Beaucoup beaucoup… Ma soeur préférait quant à elle les cartes Sailor Moon (d’ailleurs, j’en ai encore un paquet chez moi, de carte Sailor Moon). Enfin bref…

Au final, j’ai troqué un paquet d’une cinquantaine de cartes contre le tome 42 de DBZ en version jap’. Je connaissais la fin de DBZ avant tout le monde et j’en étais très fière. Maintenant, en y repensant… Nan, je suis toujours fière d’être la première du collège à avoir connu la fin de la série.

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