Samedi dernier, j’étais à mon atelier d’écriture, prête à faire travailler mes neurones et mon stylo (dans cet ordre, idéalement). On a enchaîné plusieurs exercices vraiment chouettes, mais le premier m’a complètement happée.

Le principe était simple : une phrase de départ, et ensuite… liberté totale. Le genre d’exercice qui me fait briller les yeux et vider les stylos. Le pitch de base ?

Suite à la mort de sa grand-mère, Sandrine fait une étrange découverte dans le grenier de cette dernière…

Rien de plus. Trente minutes pour inventer tout le reste.
Évidemment, j’ai plongé tête la première ! En une demi-heure, j’ai pondu quatre pages A5 (et accessoirement une ampoule au doigt). L’histoire est devenue très… comment dire… très moi. Disons que ça part un peu en vrille, mais avec du cœur et une pincée de mystère.

Plutôt que de vous spoiler, je vous laisse la découvrir dans la page de mes nouvelles: elle y trône fièrement à côté de mes autres élucubrations littéraires.

Bonne lecture, et souvenez-vous : parfois, il suffit d’une grand-mère et d’un grenier poussiéreux pour réveiller toute une histoire.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *