Lorsque j’étais plus jeune, je dessinais beaucoup, et mon rêve était de faire ma propre bande dessinée.

J’avais déjà fait pas mal d’essais un peu foireux quand j’ai décidé, en classe de 4ème, de créer une bande dessinée sur le monde fabuleux des chevaliers de la table ronde. C’est ainsi qu’est né « La Légende du Saint Graal ».

Arthur Pendragon est roi, détenteur de l’épée magique Excalibur. Il est de retour d’une mission quelconque (un roi qui fait des missions lui-même, mais où a-t-on vu ça ?), à Camelot où il retrouve ses fidèles amis.  Il y a là Lancelot, Perceval, Tristan et Yvain (Tristan que j’ai piqué à Tristan et Iseult, et Yvain, le chevalier au lion qui n’a pas de lion). Et là, gros problème : la terrible Morgane le Fey en personne vient menacer le roi et disparaît comme par magie. Arthur est bien embêté et va trouver ce bon vieux Merlin, qui ici, est plutôt jeune et bien foutu. Ce dernier leur dit d’aller rendre visite à Viviane, la dame du lac. Sur le chemin, nos preux chevaliers rencontrent Pallas, que Lancelot semble connaître, et son jeune fils Galaad.

Et je n’ai jamais continué. Les planches originales sont parties au fin fond d’une poubelle à Versailles, chez ma mère. Mais comme d’habitude, ça m’a tellement marqué que je suis capable de redessiner quelques personnages avec mon style d’aujourd’hui. C’est cadeau.

Arthur Pendragon, le héro de l’histoire, avait des cheveux rouges. Je sortais de ma période DBZ, ça s’en ressens sur sa coupe de cheveux.

Lancelot du Lac devait être le second personnage principal. Il ressemblait à une fille XD

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