Pour là je n’sais combientième fois, je m’relis.
Et comme d’hab’, j’trouve toujours des p’tits trucs à modifier, des passages inutiles, des fautes d’orthographes, des idées que je laisse tomber pour les dégager gentiment de l’histoire.
Pfiouuuuu.
J’ai l’impression que je ne serais jamais satisfaite de ce que j’écris au final.
C’est la tristitude de la tristesse.